SANDRA BECKER,
PSYCHOPRATICIENNE
Perte de confiance, perte du goût des choses, pensées négatives … sont autant de symptômes qui révèlent le besoin d’entamer une thérapie pour s’aider à reprendre sa vie en main et à aller mieux.
« La vie c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre »
— Albert Einstein.
En tant que thérapeute, mon but est de bâtir une relation privilégiée avec mon patient. Celle-ci se base sur la confiance et se développe tout au long de la thérapie entreprise ensemble.
Par ma formation professionnelle et mon expérience personnelle, mon objectif est d’encourager ce questionnement, afin de permettre le changement désiré et d’aider mes patients à surmonter les différentes épreuves auxquelles ils font face.
VIE AFFECTIVE
« Le principe est le suivant : c’est le patient, et le patient seul qui détient les réponses. Nous pouvons ou non le rendre capable de cerner ce qui est connu ou d’en devenir conscient en l’acceptant. » — Winnicott
Nos vies sont, en grande partie, régies par nos émotions. Elles interfèrent en tout. En nous. Entre nous et le monde.
Un deuil qui ne se fait pas, une rupture trop présente, une incapacité à faire un premier pas, une solitude subie, l’impossibilité de s’affirmer, la difficulté à se faire confiance, le cercle vicieux de la répétition dans la vie amoureuse…
AIDE À LA PARENTALITÉ
« Quand je serai grande, je tâcherai de me souvenir de comment c’est quand on est petite ». — Françoise Dolto
Être parent n’implique pas d’être parfait. Tout le monde est d’accord là-dessus et pourtant, l’amour pour son enfant, le manque d’objectivité lié à ce rôle peuvent pousser à se montrer désemparé et à contre temps de l’éducation fantasmée aux tout premiers mois.
« Se souvenir de » explore une voie précieuse. On fait le lien avec l’enfant dans le souvenir, mais avec une maturité qui nous oblige à la distance et à la raison.
ADOLESCENTS
« L’adolescence est comme un cactus »
— Anais Nin
Comment ? Par où le tenir à soi ?
Cette séquence de la vie peut connaître de fortes perturbations. « Trop jeune pour ceci », « trop vieux pour cela », la volonté et en même temps la peur de s’émanciper. La transgression nécessaire, mais de nouveaux rapports dont personne (parents comme adolescents) ne connaît vraiment les derniers codes… Le dialogue peut très vite s’interrompre sur un quiproquo, un appel à l’aide déguisé en provocation.